Sant-pere-de-rodes

About trip

Parmi les différents itinéraires qui mènent au complexe monumental formé par le monastère de Sant Pere de Rodes, le village médiéval de La Santa Creu et le château de Sant Salvador, nous avons choisi celui qui longe la colline de Palau-saverdera.  Il a tous les éléments pour être un itinéraire agréable et intéressant.  Routes, monuments et paysages bien enracinés, balisés et balisés.  Si nous avons de la chance et que le jour est dégagé, le plaisir sera complet après un accident vasculaire cérébral.

Lors de la représentation, nous avons eu la chance de coïncider avec Joan Padrosa, originaire des Palaos, alpiniste et connaisseur de la région, qui a participé à la récupération des routes et à la localisation des mégalithes.  Il a eu le courage de nous accompagner et de nous faire connaître des endroits comme la cachette des Bandolers, ainsi que de nous fournir des informations qui se sont révélées utiles pour la rédaction de cet article.

Accès

Cet itinéraire commence sur le parking à côté du centre civique de Palau-saverdera.  Vous y arrivez par la New Street depuis le rond-point jusqu'au village et tournez à gauche à la hauteur du centre civique mentionné.

Une bonne alternative est de le démarrer à partir de la fonte de Dalt.  On y accède en continuant dans la même rue Nou et en tournant à gauche dans Font.  À ce stade, il existe des indicateurs du début de divers itinéraires de randonnée qui quittent Palau.

Palau-saverdera (100m)

Le site de Palau est documenté depuis le 10ème siècle et l'église Sant Joan du 11ème siècle a été construite sur une ancienne villa romaine.  Mais le peuplement de ces terres diminue beaucoup au fil du temps, comme en témoignent les nombreux monuments mégalithiques disséminés dans la Sierra de Rodes et les Albères.

Nous quittons la ville en empruntant l'un des chemins historiques, celui de l'ermitage de San Onofre.  Il y a des panneaux indiquant différents itinéraires et cela coïncide avec le GR 92-0 (Llançà-Villaüt).  Nous la laissons bientôt: à l'ombre d'un grand chêne nous allons à droite.  Nous pouvons continuer tout droit et faire court, au prix de perdre notre visite au groupe de dolmens connu sous le nom de Fontasia.  Quelques marches plus loin, nous retournons à droite en longeant une crête entre des murs de pierres sèches, où nous pouvons admirer un pont en forme d'amande sur le ruisseau Vera Negra.  À la fourche, nous continuons tout droit (N), nous récupérons le chemin que nous avons quitté récemment et le prenons à droite.

Mégalithes des Pas du Poète (197 ~ 223m)

Bien balisé.  Le groupe comprend un dolmen, deux paradolmes et un menhir.  Le premier a la couverture d'atterrissage.  C'est pourquoi les propriétaires de la pièce l'ont appelée "la caserne gâtée".

Dolmen de la Fontasia (250m)

Pas beaucoup plus haut que celui du poète.  Aussi bien indiqué, il manque la couverture.  Dans certaines revues, il s’appelle "Fantasy".

Nous traversons à nouveau la Veta Negra et reprenons la route vers Sant Onofre.  Afin de visiter les mégalithes, nous avons dû nous écarter des sentiers traditionnels pour suivre des sentiers express ouverts à cet effet.  Tout le monde est propre et froid.

Nous continuons à pic et, deux cents mètres plus haut, nous quittons le chemin qui mène à la grotte Veta Negra sur la droite.  La fourche est indiquée.  Si nous le suivions, peu avant la grotte, nous retrouverions celle qui monte au château de Sant Salvador.

Nous continuons à gauche.  Comme la route est un bon moyen de transport, certains pèlerins qui se sont rendus à Sant Onofre effectuaient un voyage plus long mais moins confortable.

Nous traversons les marronniers de Queló Mateu.  Plus loin, quand la route fait face, il y en a une autre qui s'est également rendue à San Salvador sur la droite.  Il est actuellement tout à fait perdu.

Sant Onofre (425m)

Situé sur une colline à moitié pleine de la chaîne de montagnes et encaissé à midi, cet ermitage est un magnifique balcon de toute la plaine de l'Empordà et des montagnes environnantes.  Par temps clair, après un accident vasculaire cérébral, on peut voir la baie de Roses et Montgrí, les Gavarres, Montseny, Rocacorba, le phare, le Puigsacalm, la Virgen del Mundo, le Taga, la Bassegoda, le Comanegra  , Les Salines et le massif du Canigó.

Il existe des preuves du sanctuaire depuis le 14ème siècle, mais le bâtiment actuel avec la chapelle et la maison de l'ermitage sont postérieurs (XVI-XVII).  Il y a un rassemblement annuel le samedi de la deuxième Pâques et il y a une fontaine qui glisse toute l'année.

De l'esplanade qui passe l'ermitage, il y a une falaise escarpée, indiquée et signalisée, qui monte au Grêle des Bandoleurs.  Aussi, une partie de la route entre Sant Onofre et Palau Pel Turó.

La cachette des bandouliers (500m)

Aussi connu comme l'abri de la grotte Fitó des bergers ou des voleurs.  C'est une brique sous un grand bloc, entouré de pierres sèches, au pied de la colline rocheuse de Fitó (ou Fitor).  Il a été utilisé comme un refuge de longues distances, à en juger par certains éléments qui y ont été localisés.

Il y a une histoire, peut-être une légende, liée à l'endroit où le groupe "Clock" du Puente de Molins aurait été abrité pendant qu'un des composants de l'équipe serait sauvé.  Les bandits ont forcé les ermites de San Onofre, un certain Père Olivet, à leur apporter des documents.  Probablement la "Clock of Creixells" était un bandit d'un certain appel qui jouait dans l'Empordà autour de la troisième carlinada, à laquelle Josep Pla a dédié une de ses œuvres.

Nous quittons la cachette et empruntons le sentier qui longe le versant sud de la chaîne de montagnes, entre Sant Onofre et Ventós.  Nous quittons la gauche sur la gauche et, un peu plus loin, nous quittons la piste à laquelle nous sommes arrivés par le Ring de la mosquée sur la droite.  Il y a un indicateur sur la fourche.  Nous la quittons après un ombrage sur le large chemin qui mène à la Sainte Croix, que nous trouvons à gauche.  Cent mètres plus loin, nous partirons par un sentier à droite (panneaux de peinture jaune) qui monte jusqu'au menhir de Santa Helena.

Menhir de Santa Helena (583m)

Signé par un signe à côté d'un groupe de blocs (1).  Nous continuons par le sentier qui retourne à la piste sur la colline du Mosquito.  Quand il se termine sur un balcon, nous allons ramper le long du chemin jusqu'au cou.  Vous perdez quelques mètres pour l’autre côté jusqu’au chemin qui, entre les boules, monte du monastère au château.

(1) Doit être un menhir menteur.  Les Lions, comme nous sommes en la matière, nous n'avons pas été en mesure de l'identifier parmi le tas de rochers ou autour d'eux.

Château de Sant Salvador (682m)

Situé sur le point culminant des montagnes de Rhodes, c'est un château rocheux également connu sous le nom de château de Verdera ou de Sant Salvador de Verdera.  Il a été construit entre le IXe et le Xe siècle par les comtes d’Empúries, bien qu’il soit resté en copropriété comme cause fréquente de litiges entre cette maison et l’abbaye de Sant Pere de Rodes.

L’imposante muraille qui l’entoure a été construite par Ponç IV d’Empúries à la fin du XIIIe siècle et constitue l’un des meilleurs exemples de l’architecture militaire de l’époque.

C'est une tour de guet stratégiquement située: dans la vue panoramique de Sant Onofre, la domination visuelle sur une grande partie de la côte est ajoutée.  C'est pourquoi, lorsqu'il a perdu son rôle militaire, il a continué d'être utilisé comme chien de garde contre le piratage.

À midi, la route des crêtes arrive sur la colline de Queralbs, à laquelle s’associe l’ouest, celle mentionnée par Palau pour la Montagne Noire et par le lever du soleil de la Selva de Mar pour les Quindals.  Cependant, nous revenons pour ce que nous sommes venus et suivons au monastère.

Sant Pere de Rodes (513m)

Sant Pere de Rodes ou Roda est un joyau du style roman catalan.  La première nouvelle de ce monastère remonte à 878, selon celle de Sant Esteve de Banyoles.  Bien que les vestiges architecturaux les plus anciens conservés puissent correspondre à l'époque romaine.

Dans la première moitié du 10ème siècle, il devint indépendant en tant que nouveau monastère bénédictin.  Seulement sous le contrôle du Saint-Siège, a commencé une période de prospérité qui durera jusqu'au XIVe siècle.  La décadence a conduit la communauté à abandonner le monastère à la fin du XVIIIe siècle, précédée par la dégradation, la ruine et les inondations.  Jusqu'à la Generalitat a entrepris les premiers travaux de restauration en 1935.

Du monastère, nous continuons par la grande route pavée vers le village de Santa Creu.

Santa Cruz de Rodas et l'église de Santa Helena (540m)

Santa Creu est une ville médiévale abandonnée formée par les vestiges des maisons, deux tours et l'église de Santa Helena, le seul bâtiment du noyau qui reste debout.  Les dernières interventions archéologiques effectuées ont confirmé l'existence d'un village médiéval enclavé entre des murailles datant des XIe et XVIe siècles et une nécropole entre les VIIIe et IXe siècles.

De là, nous empruntons un chemin parallèle à la route d’accès au complexe monumental qui nous donne le plus de vent.

Venteux (460m)

Ruines consolidées d'une ancienne ferme, à côté de la route entre Vilajuïga et le port de la Selva.  Il y a une grande zone de loisirs avec des fontaines, des tables, des bancs et un point de vue.

Il a dédié la sardane populaire "Sous le plus venteux" de Jaume Bonaterra, fils de Vilajuïga.

Près de la piste de Sant Onofre et bien indiquée, le chemin de Palau part.  C'est une vieille façon de faire du bien que de continuer dans la descente.

Déjà ci-dessous, nous trouvons sur la gauche une route balisée indiquant "itinéraire du Sureda" menant à un couple de dolmens.  Un peu plus loin, également indiqué à droite et près de la route, se trouve celle de Muntanya d'en Caselles.  Et si vous l'aimez, nous pouvons continuer jusqu'à ce que l'éolien.

Nous revenons à Palau-saverdera par quartier de la ville.